REVOLTES
DESPEUPLESARABES
DESRESPONBLES
ISRAELIENS
SOULAGES
Source : la newsletter du CRIF
via le Ministère israélien
des Affaires Etrangères
diffusée le 23 février



Lieberman :
«Il est clair aujourd’hui
que le conflit israélo-palestinien
n'est pas la raison principale
des problèmes du Moyen-Orient»




Lors d’une conférence de presse conjointe, mardi 22 février 2011, consécutive à la 10ème réunion du Conseil de collaboration israélo-européen, le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a déclaré : " Israël est le seul véritable partenaire stratégique de l'UE dans notre région, parce que notre coopération est fondée non seulement sur des intérêts économiques et de sécurité communs, mais aussi et surtout sur des valeurs communes".

Interrogé par la presse à propos des évènements dans le monde arabe, Avigdor Lieberman a insisté sur le fait qu’Israël ne s’est « jamais immiscé dans la politique intérieure de nos voisins… Il s’agit, en premier lieu, de différends internes et non pas de différends internationaux. Nous respecterons les gouvernements et les choix de nos voisins. Notre attente est qu’ils respectent les accords que nous avons signés par le passé, et notre espoir est de voir davantage de stabilité et de sécurité dès que possible. C’est crucial pour Israël, crucial pour l'Europe, crucial pour le monde entier, en particulier dans une région aussi sensible que celle-ci… Et j’insiste une fois encore, contre les informations trompeuses et les malentendus sur la nature du conflit dans cette région. Il est clair que le conflit israélo-palestinien est une question importante, mais il est clair aussi aujourd’hui que ce n'est pas la raison principale qui se trouve au cœur des conflits et des problèmes du Moyen-Orient. Il n’y pas de lien entre notre différend avec les Palestiniens et les troubles en Tunisie, en Algérie, au Yémen, en Egypte ou à Bahreïn. La principale raison de l'instabilité dans ces régions, c'est la pauvreté, c'est la misère, ce sont les gouvernements inefficaces. Nous sommes une démocratie forte. Nous sommes prêts à partager nos connaissances et notre technologie avec tous nos voisins », a conclu le ministre.