"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, novembre 10, 2010

ISRAËL
LINTOLERANCE
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ORTHODOXEENNET
PROGRESSION
Source : jforum en ligne le 9 novembre




Iinjures contre des femmes juives
au Mur des Lamentations


Plus d’une centaine de femmes juives ont été abreuvées d’injures lundi au moment où elles ont tenté de chanter et de prier à haute voix au Mur des Lamentations dans la Vieille ville de Jérusalem, le site le plus sacré du judaïsme.

Ce groupe de femmes membres de l’organisation "Women of the Wall (WoW) —les "Femmes du Mur"— appartient au courant moderniste du judaïsme. Elles se sont rassemblées autour de la partie du Mur réservée aux femmes. Mais dès qu’elles ont commencé à chanter et à prier sous la protection des policiers, des passants pour la plupart des hommes les ont injuriées.

Deux autres femmes qui portaient des rouleaux de la Torah à l’entrée de l’esplanade du Mur ont également été injuriées. "Vous brûlerez en Enfer ! Prostituées", ont crié plusieurs manifestants ultra-orthodoxes. Ces femmes se disent victimes de discrimination en raison de leur sexe. Mais pour leurs adversaires ultra-orthodoxes notamment, elles violent les préceptes du judaïsme et se livrent à des "provocations".
Elles se sont fixées pour objectif de pouvoir porter le châle de prières, et de prier à haute voix au Mur des Lamentations, un droit réservé jusqu’à présent aux hommes. Ces femmes se rassemblent chaque premier jour du mois lunaire juif pour obtenir un changement de la loi.

En 2003, la Cour suprême a statué que les Femmes du Mur n’avaient pas le droit de prier à haute voix au Mur des Lamentations, ultime vestige du second Temple juif détruit par les légions de Titus en 70 de l’ère chrétienne, car un tel acte constitue une menace pour l’ordre public. Une infraction à la loi religieuse est passible de six mois de prison ferme et d’une amende de 3.000 dollars.

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