"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, avril 15, 2010

POURUNECOLLABORATION
ENTREJUIFSETARABES
DANSLAHIGHTTEC

Source : israelvalley.com en ligne
le 14 avril


« Pour moi Nazareth est
plus éloigné que San Francisco »
affirme Yossi Vardi, roi du High-tech
en Israël, au cours
d’un véritable plaidoyer pour
une collaboration accrue
entre Juifs et Arabes.



« Je dois admettre que je viens à Nazareth comme un ignare. Pour moi, Nazareth est plus éloigné que San Francisco. Nous avons tous intérêt à rapprocher les deux communautés. Il devrait y avoir plus de contacts entre les intervenants du High-tech juifs et arabes, et la coopération devrait être
accrue », a affirmé hier le gourou israélien des nouvelles technologies Yossi Vardi au cours de la conférence sur les affaires commerciales arabes qui se tenait à Nazareth.

Vardi a ajouté : « Ces derniers mois, on m’a présenté plusieurs pôles de compétitivité dans les nouvelles technologies au sein de la communauté arabe. Je perçois des signes d’activités, qui, selon moi, ne vont faire que s’amplifier. Les plus grandes opportunités résident dans les collaborations entre l’industrie du High-tech qui se développe au centre du pays et dans la région de Haïfa avec l’industrie du High-tech de Nazareth et de Galilée. »

Vardi s’est également étonné des chiffres que lui avait transmis l’organisateur de la conférence : sur 7000 conférenciers qui ont participé à plus de 1000 conférences portant sur les nouvelles technologies, seulement quatre étaient arabes. « Nous avons besoin de voir plus d’intervenants arabes dans le High-tech s’illustrer lors de telles conférences », a-t-il conclu.

ISRAELVALLEY PLUS (Source: Nathalie Harel pour L’Arche)
 :

Yossi Vardi : « Tout commence et tout finit avec la culture du risque ». Le vétéran de la high tech israélienne, Joseph (Yossi) Vardi, fait partie de ces entrepreneurs en série qui ont fondé ou aidé à bâtir des dizaines de sociétés dans les domaines de l’Internet, des logiciels, des télécoms, de l’énergie ou de l’environnement. Il a notamment investi dans Mirabilis, la société co-fondée par son fils, Arik Vardi, pour lancer le système de messagerie instantanée ICQ. Et il s’est forgé une stature de héros national en cédant la jeune pousse en 1998 au géant américain AOL pour la bagatelle de 407 millions de dollars.

Yossi Vardi a par ailleurs occupé des fonctions au sein du service public israélien, comme directeur général du ministère du Développement et du ministère de l’Energie, et comme conseiller spécial auprès du ministre des Affaires étrangères. Il est aussi à l’origine du programme Yozma (« Initiative » en hébreu), qui a accéléré l’arrivée des business angels en Israël.


Q.- Pourquoi l’innovation est-elle
autant valorisée dans
la société israélienne ?

R.- L’innovation est tributaire de tout un écosystème. En Israël, il existe un cercle vertueux dans ce domaine. L’importance de l’éducation, le niveau de développement technologique, la disponibilité relative des financements, l’implication gouvernementale, l’existence d’un vivier d’entrepreneurs et d’une opinion publique qui soutient la high tech : tout cela crée un environnement favorable à l’innovation.

Mais le facteur le plus important est d’ordre culturel. Non seulement les Israéliens visent l’excellence académique mais ils sont prêts à prendre des risques, notamment grâce à leur entraînement militaire. Ici tout commence et tout finit avec cette culture du risque.

Dans certains pays, l’échec est très mal vécu. En Israël, il est totalement assumé. Sans quoi on ne verrait pas autant de « jeunes pousses » ou de projets innovants.—

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