ISRAËL62ANS
DESOUFFRANCE
Source : israelvalley.com en ligne
le 18 avril
62ème ANNIVERSAIRE :
DU DEUIL A LA JOIE,
DES LARMES
AUX FEUX D'ARTIFICE…
Par
Mati Ben-Avraham
Dimanche soir, à 20h, les israéliens, mais pas tous, se figeront, pour deux minutes de silence, à l’invitation du mugissement des sirènes. Demain, ces mêmes se retrouveront, à la même heure, pour clamer leur joie, leur fierté, en un mot : israélien, sans restriction mentale d’aucune sorte.
Depuis ce 15 mai 1947, ils sont 22682 à être tombés, soldats et civils, au cours des trois grandes guerres, d’opérations ponctuelles, d’attentats terroristes. La taille du pays fait que la tristesse est plus pesante, immédiatement perceptible.
Et c’’est sans transition que les feux d’artifice succèderont aux larmes, la joie à la peine. Ainsi l’a voulu le législateur. Pour que la douleur soit surmontée. Parce que la vie est la valeur suprême.
Il n’en est que plus regrettable que la joie ne soit pas l’apanage de tous. Par exclusion volontaire. Les hommes en noir d’une part, soit ces religieux orthodoxes qui n’entretiennent avec l’Etat que des relations instrumentales, qui ne s’identifient ni avec le drapeau bleu et blanc frappé de l’étoile de David, ni avec l’hymne national, suivis en ce, d’autre part, par la majeure partie des palestiniens israéliens, qui ne le sont que sur le plan pratique.
La naissance de l’Etat, ou sa résurgence, n’a pas été suivi de la naissance d’une nation. Tout simplement, peut-être, parce que les conditions d’alors ne prêtaient pas à la réflexion. Que par la suite, les évènnements ont limité l’esprit d’ouverture menant aux compromis salvateurs? Mais aujourd’hui? Quand le pays dispose d’une des meilleures armées qui soient? Quand sa réussite économique frise l’insolence?
DESOUFFRANCE
Source : israelvalley.com en ligne
le 18 avril
62ème ANNIVERSAIRE :
DU DEUIL A LA JOIE,
DES LARMES
AUX FEUX D'ARTIFICE…
Par
Mati Ben-Avraham
Dimanche soir, à 20h, les israéliens, mais pas tous, se figeront, pour deux minutes de silence, à l’invitation du mugissement des sirènes. Demain, ces mêmes se retrouveront, à la même heure, pour clamer leur joie, leur fierté, en un mot : israélien, sans restriction mentale d’aucune sorte.
Depuis ce 15 mai 1947, ils sont 22682 à être tombés, soldats et civils, au cours des trois grandes guerres, d’opérations ponctuelles, d’attentats terroristes. La taille du pays fait que la tristesse est plus pesante, immédiatement perceptible.
Et c’’est sans transition que les feux d’artifice succèderont aux larmes, la joie à la peine. Ainsi l’a voulu le législateur. Pour que la douleur soit surmontée. Parce que la vie est la valeur suprême.
Il n’en est que plus regrettable que la joie ne soit pas l’apanage de tous. Par exclusion volontaire. Les hommes en noir d’une part, soit ces religieux orthodoxes qui n’entretiennent avec l’Etat que des relations instrumentales, qui ne s’identifient ni avec le drapeau bleu et blanc frappé de l’étoile de David, ni avec l’hymne national, suivis en ce, d’autre part, par la majeure partie des palestiniens israéliens, qui ne le sont que sur le plan pratique.
La naissance de l’Etat, ou sa résurgence, n’a pas été suivi de la naissance d’une nation. Tout simplement, peut-être, parce que les conditions d’alors ne prêtaient pas à la réflexion. Que par la suite, les évènnements ont limité l’esprit d’ouverture menant aux compromis salvateurs? Mais aujourd’hui? Quand le pays dispose d’une des meilleures armées qui soient? Quand sa réussite économique frise l’insolence?
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