"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, novembre 04, 2008

ISRAËL
ETLEPROCHAIN
PRESIDENT
DESETATSUNIS
Source : ladepeche.fr via l'AFP en ligne le 3 novembre



Obama ou McCain:
Israël compte rester l'allié privilégié des Etats-Unis



David Buimovitch AFP

Israël compte bien préserver ses liens privilégiés avec les Etats-Unis indépendamment de l'issue de la présidentielle, bien que l'opposition de droite ait déjà exprimé ses craintes d'une victoire de Barack Obama.

"L'amitié avec Israël est une donnée constante de la politique américaine qui ne dépend pas de l'issue du scrutin, puisqu'elle repose à la fois sur des valeurs et des intérêts communs", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Yigal Palmor.
De fait, les deux candidats ont tous deux visité Israël ces derniers mois et ont multiplié durant leur campagne les déclarations de soutien à l'Etat hébreu, qui ont eu un large écho en Israël.
Les prises de position de Barack Obama, qui a proclamé le 4 juin que Jérusalem devait "rester la capitale d'Israël" et "demeurer indivisible", ont eu notamment pour effet de changer radicalement le ton des médias israéliens à son égard.
Au départ très réticente, la presse est devenue de plus en plus positive envers le candidat démocrate au fur et à mesure que les chances de M. Obama de l'emporter augmentaient.
A preuve, un éditorialiste du quotidien israélien à grand tirage Yediot Aharonot titrait lundi son papier: "Nous méritons aussi un Obama" dans un éloge vibrant de la démocratie américaine et une critique de la société israélienne.
"La Nation américaine s'appuie sur un idéal commun et non sur le mythe d'un peuple issu d'un berger, il y a quatre mille ans", écrit-il en référence au récit biblique du patriarche Abraham.
Néanmoins, l'opposition de droite qui, selon les sondages, pourrait gagner les législatives du 10 février en Israel, maintient ses réserves tout en se gardant bien de l'exprimer publiquement.
Le Maariv s'en est fait l'écho lundi, titrant: "Israël craint que les assurances de Barack Obama soient des paroles en l'air".
Le journal fait état des inquiétudes de certains milieux à cause de la volonté affichée de Barack Obama de prendre langue avec le régime iranien, l'ennemi juré d'Israël, à l'heure où Téhéran poursuit son programme nucléaire controversé.
M. Youval Steinitz, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de la Knesset (parlement), s'est ainsi déclaré il y a trois mois préoccupé par la position sur l'Iran de M. Obama, mettant en exergue celle de son rival républicain John McCain, qualifié d'"ami sincère d'Israël engagé en faveur de sa sécurité et très actif sur la menace nucléaire iranienne".
"C'est un fait que l'attitude de Barack Obama vis à vis de Téhéran suscite des craintes. Mais l'objectif primordial du candidat démocrate, s'il est élu, est de sortir les forces américaines d'Irak et, dans ce but, il est logique de dialoguer", a déclaré à l'AFP un haut responsable qui a requis l'anonymat.
Il n'a pas exclu qu'Israël "puisse profiter d'un tel dialogue" dans la mesure où la diplomatie parviendrait à stopper ou au moins freiner les projets d'armement nucléaire prêtés par Israël et les pays occidentaux à l'Iran.
Pour l'ancien Consul général d'Israël à New York Alon Pinkas, écrivant dans le Maariv, tous les présidents américains qui se sont succédé ces dernières années ont soutenu d'une façon ou d'une autre Israël.
A la question classique: "Qui sera le meilleur pour les juifs?", cet ancien diplomate répond que ce n'est pas forcément celui qui a manifesté un appui inconditionnel à Israël comme le président sortant George W. Bush.
Il relève ainsi son "bilan négatif sur le plan de la politique étrangère et économique".
"L'essentiel est que les Etats-Unis restent une très grande puissance, un pays fort, influent sur la scène internationale et impliqué dans le processus de paix israélo-arabe", souligne-t-il.

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