"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mercredi, mai 16, 2007

BIO
de Bernard KOUCHNER
Source : www.fr.wikipedia.org/wiki/BernardKouchner


Né le 1er novembre 1939 à Avignon, Bernard Kouchner est un médecin et homme politique français, co-fondateur de Médecins sans frontières et de Médecins du monde, ancien ministre, député européen et haut fonctionnaire de l'ONU.



L'engagement humanitaire sur fond de politique

D'un père juif et d'une mère protestante, sa vie militante le mène du PCF, au début des années 1960, au PS, au PRS avant de revenir au Parti socialiste.
Il a publié divers ouvrages dont Dieu et les hommes, en collaboration avec l'abbé Pierre, fondateur des communautés Emmaüs. Sa première épouse était le professeur de droit Évelyne Pisier. Il s’est remarié avec la journaliste belge Christine Ockrent. Il a eu trois enfants de sa première épouse (Julien, Camille, Antoine) et un de la seconde (Alexandre).
En mai 1968, il est l'animateur du comité de grève de la faculté de médecine de Paris. Il part ensuite au Biafra avec le Secours médical français (SMF) qu’il contribue à transformer en Médecins sans frontières (MSF), en 1971. Après avoir participé avec Emmanuel d'Astier à la création du journal l'Événement, il collabore régulièrement avec le magazine Actuel tout au long des années 70. En 1979, il entre en conflit à la tête de l’organisation humanitaire avec Claude Malhuret et quitte MSF pour fonder Médecins du monde. Il met ses pas dans ceux des grands reporters, et s'affiche de plus en plus dans les médias, notamment aux journaux télévisés, ce qui lui vaut de nombreuses critiques, notamment après ses interventions humanitaires en Somalie (décembre 1992). Il est certainement un des french doctors les plus célèbres, en raison de ses engagements humanitaires et sa forte présence médiatique.
Il a mené campagne dans les institutions internationales pour la reconnaissance du droit d'ingérence. Il entre au gouvernement français comme secrétaire d'État en 1988, puis ministre de la Santé et de l’Action humanitaire (1992-93).
Aux responsabilités nationales et internationales [modifier]
Il a créé, en 1993, la Fondation pour l’action humanitaire. Bien que n’étant pas membre du PS, il est élu en 1994 sur la liste européenne de Michel Rocard et adhère, sur les traces de Bernard Tapie, en 1995 au Parti radical-socialiste (PRS) dont il devient porte-parole. Il s’est prononcé, à titre personnel, en faveur de la réforme Juppé de la Sécurité sociale. Il préside l'association Réunir et est à la fois proche de Michel Rocard et de Lionel Jospin. De parachutage en parachutage, il tente, vainement et à plusieurs reprises, d'obtenir un mandat législatif (en 1988 dans le Nord, en 1994 en Moselle, 1996 législatives partielles à Gardanne).
Bernard Kouchner a administré le Kosovo en tant que Haut représentant de l'ONU de juillet 1999 à janvier 2001. Cette mission faisait suite au vote de la résolution 1244 du conseil de sécurité qui autorisait l'établissement d'une autorité « administrative internationale civile ». Dans un pays ravagé par la guerre, Bernard Kouchner est chargé de diriger quatre secteurs d'activité qui sont : l'assistance humanitaire, l'administration civile, l'économie, et l'élaboration d'institutions démocratiques. Bernard Kouchner a l'occasion de mettre en application ses théories.
Malgré ses états de service, sa notoriété et son expérience, Bernard Kouchner a par la suite été un candidat malheureux à différents postes à hautes responsabilités au sein des Nations Unies : Haut Commissaire aux Réfugiés (HCR) en 2005 et directeur général de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2006.



Le positionnement politique original à gauche


Bernard Kouchner, le 17 mai 2006.
Début 2003, il s'est prononcé favorablement à une intervention en Irak résumée par la position : « ni la guerre ni Saddam », affirmant que l'ingérence contre les dictatures doit être globale. Bernard Kouchner est par ailleurs très critique sur la gestion et l'administration américaine à qui il reproche de ne pas avoir tenu compte des enseignements du passé.
En 2004, il est cité par le magazine américain Time comme l'une des "100 personnalités les plus puissantes et influentes du monde" pour avoir « au nom des droits de l'homme, approuvé l'intervention américaine en Irak ».
Il est à noter que Bernard Kouchner n'a pas réussi à accéder à un mandat électif individuel, malgré deux tentatives. Il est longtemps resté à l'écart de la vie politique d'appareil du parti socialiste et se permet des prises de position publiques non orthodoxes vis-à-vis de son propre camp politique : militant socialiste, il est favorable à certaines mesures conduites par la droite comme le contrat dit "Nouvelle Embauche", ou l'ouverture du capital d'EDF. Il se décrit lui-même comme un militant de gauche de tendance sociale-démocrate.
Élection présidentielle de 2007 [modifier]
Le 11 janvier 2006, il se dit « candidat à des primaires » à l'italienne pour l'élection présidentielle de 2007.
En décembre 2006, Bernard Kouchner a indiqué qu'il se verrait bien dans un gouvernement d'union nationale si Nicolas Sarkozy était élu, tout en réaffirmant sa fidélité au Parti socialiste[1].
En février 2007, il rejoint l'équipe de campagne de la candidate socialiste Ségolène Royal tout en prônant l'ouverture politique comme la propose François Bayrou. Dans cette logique, et suite à l'appel de Michel Rocard pour un accord PS-UDF, il prend position pour un rapprochement avant le premier tour entre Ségolène Royal et François Bayrou, dans une interview accordée au Journal du dimanche du 15 avril 2007[2].



Fonctions gouvernementales

Secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires sociales et de l'Emploi, chargé de l'Insertion sociale du gouvernement Michel Rocard (1) (du 13 mai au 28 juin 1988)
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre chargé de l'Action humanitaire du gouvernement Michel Rocard (2) (du 28 juin 1988 au 17 mai 1991)
Secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères, chargé de l'Action humanitaire du gouvernement Édith Cresson (du 17 mai 1991 au 4 avril 1992)
Ministre de la Santé et de l’Action humanitaire du gouvernement Pierre Bérégovoy (du 4 avril 1992 au 30 mars 1993)
Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargé de la Santé du gouvernement Lionel Jospin (du 4 juin 1997 au 28 juillet 1999)
Ministre délégué auprès du ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargé de la Santé du gouvernement Lionel Jospin (du 6 février 2001 à 7 mai 2002)

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