"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

mardi, août 31, 2010

POLEMIQUE
ENISRAËLAUTOUR
DESCONVERSIONS

Souce : jerusalemplus.tv en ligne
le 31 août



LE POINT SUR LE DEBAT
QUI DIVISE ISRAËL*


Le Conseil du Grand Rabbinat s'est réuni, lundi, pour débattre d'une proposition susceptible de résoudre la question du mariage des convertis. Certains greffiers refusent en effet de reconnaître les certificats de conversion de l'Etat empêchant donc leur union en Israël.


Le Grand Rabbin Shlomo Amar a proposé à la Haute Cour de justice d'homogénéiser l'enregistrement des mariages en Israël. Ainsi, les convertis ne devront plus enregistrer leur mariage auprès du rabbin de leur ville, mais pourront s'adresser au greffier de leur choix.

En mars, une plainte avait été déposée contre le Rabbinat et quatre rabbins en particulier qui avaient refusé d'accorder une licence de mariage à des Israéliens dont la conversion au judaïsme avait pourtant été validée par des tribunaux religieux reconnus par l'Etat.

Excès de zèle Cette affaire a mis en lumière l'excès de zèle de certains représentants qui n'acceptent pas la validité des conversions, pourtant approuvées par les organes officiels auxquels ils appartiennent. La Haute cour est toutefois réticente à imposer sa loiau Rabbinat, car les magistrats savent que leurs décisions risquent d'être dénigrées par les religieux.

C'est en prévision de ce débat que le Rabbinat espère trouver un arrangement qui conviendra aux plaignants et à la Cour. La proposition a été critiquée par le parti Judaïsme Unifié de la Torah, mais le parti haredi ashkénaze a finalement soutenu la loi à la Knesset. "Nous devons protéger les convertis"

Le rabbin Seth Farber, l'un des requérants, lui n'est pas satisfait de la proposition d'Amar : "Nous voulons donner au Rabbinat l'opportunité de défendre une bonne fois pour toutes ses propres conversions.

A la place, le Rabbinat essaie d'éviter le problème des annulations de conversions, en cherchant à passer outre les greffiers qui refusent de reconnaître les convertis." "Cette réponse conforte les rabbins fondamentalistes qui refusent de reconnaître les conversions de l'Etat et discrimine les convertis qui ont fait de grands efforts et de nombreux sacrifices pour rejoindre le peuple juif", ajoute-il.

"Je suis conscient que le rabbin Amar essaie d'éviter d'offenser les ultra-orthodoxes, mais dans ce cas, apaiser les religieux au détriment des convertis va à l'encontre du commandement halakhique de protéger les convertis."


Par
JONAH MANDEL


*Le titre est de la rédaction de Diasporablog
FACEBOOK
AUSOMMET
DEWASHIGTON
Source : la revue de presse

de l'Ambassade de France en Israël
diffusée le 31 août


Sommet de Washington :
désormais sur Facebook


Shlomo Tsezna
Israël Hayom


Pour la première fois, les internautes du monde entier pourront recevoir des mises à jour en continu sur le sommet de Washington, sur les comptes Facebook et Twitter du Premier ministre. De plus, Netanyahu a ordonné de mettre en place une nouvelle chaîne YouTube sur laquelle on pourra trouver les moments forts de ses discours et des vidéos de ses déplacements en Israël et à l’étranger, ainsi qu’un compte pour le partage de photos sur Flickr. « Les réseaux sociaux de média sont essentiels pour les efforts de communication israéliens et pour la transparence gouvernementale », a déclaré Netanyahu.
OVADIAYOSSEF
DISCREDIT
LESFONDEMENTS
DUJUDAÏSME
Source : rue89.com en ligne le 30 août



Ovadia Yosef,
rabbin encombrant qui veut
la mort des Palestiniens


Par
Marie Telling



A la veille de la reprise des négociations israélo-palestiniennes à Washington, c'est une polémique dont l'Etat juif se serait bien passé : un rabbin qui souhaite la mort des Palestiniens, à commencer par Mahmoud Abbas, le seul interlocuteur d'Israël dans le processus de paix.

Un rabbin, et pas des moindres puisqu'il s'agit d'Ovadia Yosef, le fondateur du Shass -parti ultra-orthodoxe membre de la coalition au pouvoir.

Le religieux, personnage-clé de la scène politique israélienne, a dénoncé samedi la reprise jeudi des pourparlers, sous l'égide de l'administration Obama, et a ajouté, à propos du président de l'Autorité palestinienne :

« Abu Mazen [nom de militant de Mahmoud Abbas, ndlr] et tous ces gens malfaisants devraient périr. »


Netanyahou se désolidarise, mais ne condamne pas ses propos

Le Shass, parti issu de la minorité séfarade d'origine marocaine et créé par Ovadia Yosef dans les années 80, fait partie de l'attelage gouvernemental dirigé par Benyamin Netanyahou. Son cabinet n'a pas tardé à réagir :

« Les remarques du rabbin Ovadia Yosef ne reflètent ni les vues de Netanyahou, ni celles du gouvernement israélien.

Israël compte prendre part aux négociations pour la paix en vue d'avancer vers un accord de paix avec les Palestiniens, qui mettrait fin au conflit et assurerait la paix, la sécurité, et de bonnes relations de voisinage entre les deux peuples. »


Le premier ministre israélien se désolidarise donc de ces déclarations, mais ne les condamne pas pour autant.

Ovadia Yosef s'attaque aussi aux femmes ou aux gays

Il faut dire qu'Ovadia Yosef est le chef spirituel du cinquième parti du pays. Avec 11 élus sur 120 à la Knesset, l'assemblée israélienne, le Shass est incontournable pour trouver une majorité et bâtir un gouvernement.

Depuis vingt ans, la formation monnaie chèrement sa participation à la plupart des exécutifs israéliens, obtenant de larges subventions pour ses œuvres sociales.

Le rabbin séfarade, âgé de 89 ans, n'en est pas à sa première controverse : il s'attaque régulièrement aux femmes, aux homosexuels ou encore aux laïcs.

En mai 2009, il déclarait ainsi que les victimes de la Shoah avaient été punies pour les péchés qu'elles avaient commis dans des vies antérieures. Quant aux 119 soldats tués pendant la seconde guerre du Liban, ils seraient, eux aussi, morts à cause de leur péchés.

Des positions motivées par son interprétation des textes religieux

Face aux critiques virulentes engendrées par ces propos, le rabbin se défend en invoquant les textes religieux. Tout son discours est d'ailleurs basé sur son interprétation des écrits qui lui font parfois prendre des positions surprenantes.

Sur d'autres points, il se montre au contraire plus ouvert : alors que certains ultra-orthodoxes refusent toujours de reconnaître la judéité des juifs éthiopiens, le rabbin Ovadia Yosef l'accepte et menace de renvoyer tout directeur d'école religieuse qui refuserait l'accès aux classes à des élèves d'origine éthiopienne.

C'est aussi son interprétation des textes qui le mène, durant les années 90, à soutenir le processus de paix enclenché par les travaillistes Yitzhak Rabin et Shimon Pérès. Il se disait alors prêt à des concessions territoriales : il affirmait alors que les hommes valaient plus que la terre.

Il a visiblement radicalement changé d'avis depuis sur la nature du processus de paix et la nécessité d'un accommodement avec le voisin palestinien.

En 2006, un sondage auprès de la jeunesse israélienne le désignait comme personnalité la plus influente du pays. Fort de cette popularité et de sa dizaine de députés, il reste donc intouchable sur la scène politique israélienne. Quelles que soient ses outrances verbales.
DURCISSEMENTDE
LAPRATIQUERELIGIEUSE
JUIVEVUPAR
LERAVOVADIAYOSSEF


LE RAV OVADIA YOSSEF
S'OPPOSE AU PORT
DE LA PERRUQUE POUR
LES FEMMES ORTHODOXES



LE7èmeART
ENDEUIL
Source : lemonde.fr via l'AFP
en ligne le 30 août



Le réalisateur Alain Corneau est mort


Le réalisateur et scénariste français Alain Corneau est décédé lundi 30 août à l'âge de 67 ans, des suites d'un cancer. Ses obsèques seront célébrées samedi à 14 h 30, au cimetière du Père-Lachaise à Paris. "Après Bernard Giraudeau en juillet, le cinéma français est à nouveau frappé par une perte cruelle. Avec Alain Corneau disparaît un très grand réalisateur, vaincu lui aussi dans la force de l'âge par la maladie", s'est exprimé le président Nicolas Sarkozy, emboîtant le pas à de nombreux hommages du monde politique et culturel. Cinéaste touche-à-tout et respecté dans la profession, Alain Corneau avait consacré son dernier film, Crime d'amour – sorti à la mi-août, avec Kristin Scott Thomas et Ludivigne Sagnier –, au thème du harcèlement au travail.



DE MULTIPLES REGISTRES


Né le 7 août 1943, musicien de formation, Alain Corneau devient stagiaire sur des films puis assistant de Constantin Costa-Gavras en 1970 sur L'Aveu. Il y rencontre Yves Montand, qu'il dirigera en 1976 dans Police Python 357, inspiré du film américain Dirty Harry et témoin des débuts du réalisateur dans la veine du film policier. Sa carrière décolle véritablement grâce au remarqué Série noire, sorti en 1979, aux dialogues écrits par l'écrivain Georges Perec, et dont Marie Trintignant et Patrick Dewaere tiennent les rôles principaux.

Alain Corneau s'essaye ensuite à des films plus ambitieux dans les années 1980, dirigeant notamment Philippe Noiret, Gérard Depardieu, Catherine Deneuve dans Fort Saganne en 1984, à l'époque le film le plus cher de l'Hexagone. Compagnon de Nadine Trintignant et collaborant avec de nombreux acteurs, il devient une des figures du cinéma français et l'un de ses fins connaisseurs, comme en témoigne son interview lors de la mort de Patrick Dewaere, en 1982 (voir la vidéo).


Poursuivant son œuvre dans des directions parfois inattendues (Nocturne indien, en 1989, se concentre sur la société indienne), la consécration de son œuvre arrive grâce à Tous les matins du monde, en 1992. L'histoire d'un violiste au XVIIe siècle, avec Gérard et Guillaume Depardieu, connaît un grand succès populaire et reçoit le César du meilleur film (voir la bande-annonce ci-dessous).


"UN HOMME DE GRAND TALENT"

Après des comédies et d'autres films à gros budgets dans les années 1990 qui ne connurent pas forcément le succès escompté (Le Prince du Pacifique, sorti en 2000, avec Patrick Timsit et Thierry Lhermitte), Alain Corneau se recentre ensuite sur des réalisations plus personnelles. Il continue à puiser dans la littérature et dans les nouvelles générations d'acteurs français, s'attachant plus particulièrement à Sylvie Testud, qu'il fait jouer en 2003 dans Stupeur et tremblements (adaptation d'un roman d'Amélie Nothomb) et dans Les Mots bleus, en 2005.

Après avoir été distingué en 2004 par le prix René-Clair pour toute sa carrière, il donne vie en 2007 à un projet de plus de trente ans, son ultime polar : Le Deuxième Souffle, avec Daniel Auteuil, Monica Bellucci, Jacques Dutronc et Michel Blanc. En 2010, le prix Henri-Langlois a encore récompensé l'ensemble de son travail en tant que réalisateur, producteur, scénariste et occasionellement acteur.

Interrogés sur la radio RTL, Gérard Depardieu s'est dit très peiné par la mort de l'artiste tout en évoquant ses "souffrances de plusieurs semaines" dues à sa maladie, tandis que le réalisateur Claude Chabrol a salué "un homme de grand talent qui aimait le cinéma".



Filmographie


1976 : Police Python 357

1977 : La Menace

1979 : Série noire

1981 : Le Choix des armes

1984 : Fort Saganne

1986 : Le Môme

1987 : Médecins des hommes:
Afghanistan pays interdit

1989 : Nocturne indien

1991 : Tous les matins du monde

1995 : Le Nouveau Monde

1997 : Le Cousin

2000 : Le Prince du Pacifique

2002 : Stupeur et Tremblements

2005 : Les Mots bleus

2007 : Le Deuxième Souffle

2010 : Crime d'amour
LACHANTEUSE
CANADIENNE
CELINEDION
HOSPITALISEE

Source : news-de-stars.com en ligne
le 31 octobre


Céline Dion :
hospitalisée d'urgence !


Céline Dion vit une grossesse gémellaire très difficileEnceinte du jumeaux à
42 ans, Céline Dion vit une grossesse très difficile qui l'aurait conduite à être hospitalisée d'urgence à Miami. Enceinte de six mois, elle pourrait perdre ses bébés.

Suive par une équipe de médecins, prête à rester alitée tout au long de sa grossesse pour voir naître ses jumeaux, Céline Dion n'a pas pu éviter les graves complications qui l'ont récemment conduite à l'hôpital. Selon le magazine Ici Paris, la chanteuse s'est sentie mal dans la nuit du mercredi au jeudi 26 août, et aurait été transportée d'urgence dans une clinique de Miami.
Les médecins ont découvert que son col de l’utérus se serait déjà ouvert alors que son accouchement n'est prévu qu'en novembre. Les jumeaux auraient entamé leur descente, un signe annonciateur d'une naissance très prématurée. L'équipe médicale de l'hôpital a immédiatement réalisé un cerclage afin de maintenir fermé le col de l’utérus de Céline Dion qui est toujours hospitalisée. Pour éviter un accouchement trop prématuré qui pourrait lui faire perdre ses bébés, la chanteuse devra probablement restée alitée jusqu'à la fin de sa grossesse.
Après avoir tenté de nombreuses fécondations in vitro, Céline Dion considère sa grossesse comme un petit miracle, elle qui rêve depuis des années de donner un petit frère ou une petite sœur à son fils René-Charles. Nous lui souhaitons beaucoup de courage pour traverser les prochaines semaines, qui s'annoncent extrêmement difficiles, et angoissantes.
ISRAELIENS/
PALESTINIENS
NEGOCIATIONS
DIRECTAWASHINGTON
NETANYAHOU

DANSLESSTARTING-BLOC
Source : lefigaro.fr via l'AFP
en ligne le 31 octobre à 9h 40
sur Diasporablog à 10h 26


Négociations:
Nétanyahou a quitté Israël


Le Premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou a quitté ce matin Israël à destination de Washington où Israéliens et Palestiniens doivent reprendre des négociations directes gelées depuis 20 mois.

M. Nétanyahou doit participer demain à un dîner à la Maison Blanche à l'invitation du président américain Barack Obama, en compagnie du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, ainsi que du président égyptien Hosni Moubarak et du roi Abdallah II de Jordanie notamment. Le lendemain, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton doit annoncer officiellement, en présence de MM. Nétanyahou et Abbas, la relance des négociations directes censées aboutir à un accord d'ici un an.
SHIMONPERES
AROME
Source : lefigaro.fr via l'AFP en ligne

le 30 août


Le pape recevra Shimon Peres jeudi


Le pape Benoît XVI recevra le président israélien Shimon Peres dans sa résidence d'été de Castel Gandolfo jeudi, jour de la reprise des négociations directes israélo-palestiniennes à Washington, a-t-on appris auprès du Vatican.

La rencontre est prévue en fin de matinée, a précisé le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, sans donner d'indications sur la teneur de leur entretien.
Ce sera l'un des premiers rendez-vous officiels du pape après la pause estivale.
Le pape et le prix Nobel de la paix (lauréat en 1994 avec Itzhak Rabin et Yasser Arafat) se sont déjà rencontrés plusieurs fois: au Vatican, en avril 2006 et septembre 2007, et en Israël en mai 2009 lors du voyage du pape en Terre sainte.

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé le 20 août la reprise le 2 septembre à Washington des négociations directes israélo-palestiniennes, interrompues depuis 20 mois, afin d'aboutir à un accord d'ici un an, dernier épisode en date de pourparlers de paix initiés à Oslo en 1993.

lundi, août 30, 2010

ISRAËL
PALESTINE
PENDANTLACRISE
LESAFFAIRESCONTINUENT
Source : rue89.com en ligne le 30 août




Israël-Palestine :
un train entre Gaza
et la Cisjordanie ?


Par Marie Telling


Un train entre la bande de Gaza et la Cisjordanie, les deux territoires palestiniens séparés par Israël ? Le projet figure vendredi matin en « une » du quotidien gratuit israélien Israel Hayom ; Mais l'annonce est plus à rapprocher de la reprise des négociations directes entre l'Etat hébreu et l'Autorité palestinienne, le 2 septembre à Washington, que d'une perspective réaliste de relier prochainement les deux parties de la Palestine.

Selon le quotidien israélien, réputé pour ses positions pro-gouvernementales,

« Israël planifie tranquillement une ligne ferroviaire qui relierait Ramallah à Gaza ».


Libre circulation entre Gaza
et la Cisjordanie


Tout commence en 2004 lors du tracé de la nouvelle ligne de train Tel Aviv-Jérusalem qui doit traverser deux zones en Cisjordanie. Les autorités israéliennes gèlent alors le projet pour trouver une solution aux implications légales d'une telle entreprise.

Le général Yoav Mordechai, directeur de l'administration civile, propose donc, selon Israel Hayom, « de confisquer la terre - mais de l'utiliser dans l'intérêt du public palestinien ».

La décision aurait été prise de prolonger la ligne ferroviaire jusqu'à Ramallah, en Cisjordanie, et d'utiliser les rails déjà existants afin de créer une ligne Gaza-Ramallah. Les palestiniens pourraient dès lors circuler librement entre les deux zones qui sont aujourd'hui totalement séparées et isolées.


« Pour le moment, je n'y crois pas »

Contacté par téléphone, un journaliste de Haaretz, quotidien israélien de centre-gauche, n'a visiblement pas eu vent du projet :

« Peut-être dans une ou deux générations, mais pour le moment
je n'y crois pas. »


Le journaliste spécialiste des transports pense surtout à un effet d'annonce de la part du gouvernement alors que les négociations directes entre Israël et l'Autorité palestinienne, sont sur le point de reprendre.


Un buzz pour créer
« une atmosphère de progrès »

Sur son blog Coteret, Didi Remez, ancien porte parole de Shalom Arshav (« la paix maintenant »), résume :

« Comme toujours lorsque le processus de paix reprend, l'air est rempli de projets liés à l'économie et aux infrastructures. Pour la plupart, le buzz aide à créer une “ atmosphère de progrès ”. »


Un projet similaire avait d'ailleurs vu le jour en 1999. Ehud Barak, Premier ministre travailliste de l'époque, avait lancé l'idée d'un pont, long de 47 km, reliant la bande de Gaza au sud de la Cisjordanie, pour permettre la libre circulation des palestiniens entre leurs territoires en « survolant » le territoire israélien. Il déclarait à l'époque :

« J'entends poursuivre l'héritage d'Itzhak Rabin. Nous aurons des désaccords, parfois sérieux, mais selon moi, il s'agit d'une opportunité historique de mettre fin à un conflit vieux de 100 ans. »


Le projet avait par la suite, été abandonné pour des raisons politiques et économiques.

Les deux initiatives s'inscrivent dans la lignée des Accords d'Oslo de 1993. Israël avait alors accepté d'ouvrir un passage sécurisé entre la Bande de Gaza et la Cisjordanie, qui n'a jamais vu le jour.
DESPROPOS
DUNCHEFSPIRITUELJUIF
QUIFAITDESVAGUES
ALAMAISONBLANCHE

Source : la revue de presse
de l'Ambassade de France en Israël
diffusée le 30 août




L’Administration américaine :
les propos du rabbin Ovadia Yossef
portent préjudice à la paix


Barak Ravid, Yaïr Ettinger
et Jacky Hori
Haaretz


Les Etats-Unis condamnent avec violence le sermon prononcé samedi soir par le chef spirituel du Shas, le rabbin Ovadia Yossef, dans lequel il espérait la mort du président de l’Autorité palestinienne, Mahmud Abbas. Des responsables américains ont confié hier soir au Haaretz que les propos du rabbin, rendus publics dans la nuit de samedi à dimanche, « ne sont pas uniquement profondément blessants, mais sont également une forme d’incitation qui porte préjudice à toute tentative de parvenir à un accord de paix ».

Lors de sa conférence hebdomadaire donnée tous les samedis soirs, le rabbin Yossef a déclaré : « que nos ennemis et adversaires périssent. Abou-Mazen et tous ces méchants, qu’ils s’effacent de la surface de la terre, que Dieu leur inflige la plaie de la peste, à eux à ces Palestiniens, ces méchants et ennemis d’Israël ».

Le sermon du leader spirituel a provoqué des remous en Israël et au sein de l’Autorité Palestinienne. Le chef de la délégation palestinienne pour les négociations, Saeb Erekat, a qualifié ces propos d’« appel au génocide ».

B. Netanyahu a certes exprimé des réserves à l’égard des déclarations du rabbin mais s’est gardé de les condamner. « Les propos du rabbin ne reflètent pas ma position ou celle du gouvernement israélien », a déclaré le Premier ministre dans un communiqué.

La formule choisie par Netanyahu est étonnante, car le rabbin n’est pas membre du gouvernement, et il ne fait donc aucun doute que ses propos ne reflètent pas sa position. De plus, Netanyahu s’est gardé de faire la moindre appréciation morale des propos du rabbin Yossef et ce, à trois jours seulement de sa rencontre avec Abou-Mazen à Washington. Le Premier ministre ne l’a pas non plus évoqué avec le président de Shas, Eli Yishaï. Rappelons que depuis un an et demi, le Premier ministre israélien ne cesse d’exiger des Palestiniens de combattre l’incitation à la haine anti-israélienne.
CONFLIT
ISRAELO/PALESTINIEN
SARKOZYPREND
UNEINITIATIVE

Source : lexpress.fr en ligne le 30 août
à 14h 13
sur Diasporablog à 15h 07



Vers un sommet méditerranéen
sur la paix au Proche-Orient



Le président Nicolas Sarkozy et son homologue égyptien Hosni Moubarak ont proposé lundi la tenue en novembre d'un sommet de l'Union pour la Méditerranée (UPM) afin de faire avancer les perspectives de paix au Proche-Orient.

Le président Nicolas Sarkozy et son homologue égyptien Hosni Moubarak proposent la tenue en novembre d'un sommet de l'Union pour la Méditerranée (UPM) afin de faire avancer les perspectives de paix au Proche-Orient.
"Nous avons proposé avec le président Moubarak que puisse se tenir aux alentours de la mi-novembre un sommet de l'Union pour la Méditerranée auquel participeraient l'ensemble des intervenants nécessaires pour obtenir la paix au Proche-Orient", a déclaré le chef de l'Etat français lors d'une conférence de presse commune à Paris avec le président égyptien.

Ce sommet, a-t-il dit, devrait avoir lieu le 20 novembre et tous les protagonistes du conflit, y compris Israël, devraient être présents autour de la table.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président palestinien Mahmoud Abbas doivent dîner avec le président américain à la Maison blanche le 1er septembre, avant d'entamer officiellement le lendemain les négociations directes, qui feront suite à des mois de contacts indirects.


Yves Clarisse
ISRAËL
LEGOUVERNEMENT
POURRAITVOLER

ENECLATS
Source : la newsletter de Guysen

International News
diffusée le 30 août



Israël :
nouvelles menaces sur
la coalition gouvernementale


Le Premier ministre israélien est de plus en plus soumis à des pressions de la part de ses partenaires gouvernementaux. Alors que sa gauche réclame la prolongation du gel des constructions et encourage les négociations directes avec les Palestiniens, sur sa droite, le "Foyer juif" a menacé de quitter le gouvernement si la reprise des constructions dans les localités juives de Judée-Samarie n'était pas autorisée.

dimanche, août 29, 2010

ISRAËL/MAROC
DEBUTDUNELUNE
DEMIEL
Source : israelvalley.com via le quotidien
d'Oran en ligne le 29 août



LE GROUPE MAROC TELECOMS
(FILIALE DE VIVENDI UNIVERSAL)
a conclu des accords avec
des firmes israéliennes.
Les contrats portent
sur le service de roaming


De temps à autres les relations d’affaires entre le Maroc et Israël apparaissent au grand jour. La plupart du temps une opacité totale et voulue par les marocains et israéliens règne sur tout ce qui touche à l’état des relations entre les deux pays. Selon notre Web Review :

“Lahcène Daoudi du Parti pour la Justice et le Développement (PJD, opposition), accuse Maroc Télécoms d’avoir conclu des contrats avec des entreprises israéliennes dans le secteur de la téléphonie mobile et demande à l’opérateur historique marocain «d’annuler ces contrats», qui portent notamment sur les services du roaming. (Roaming : ce service proposé par les opérateurs de télécommunications permet aux usagers de téléphones mobiles de pouvoir appeler et être appelés dans un pays étranger. Pour cela, les opérateurs de différents pays passent des accords de dits de roaming, afin que les téléphones de leurs abonnés puissent se connecter en toute transparence à un réseau (GSM, GPRS ou UMTS) étranger si nécessaire. Ce service est évidemment payant et les tarifs des communications sont très variables mais généralement très élevés d’un opérateur à l’autre.)

«Ces contrats avec des entreprises israéliennes ne sont qu’un encouragement gratuit au rapprochement avec Israël, et qui ne bénéficient qu’à Israël. Le Maroc officiel n’a pas de relations avec Israël, et le peuple marocain est contre tout rapprochement avec Israël», estime encore Lahcène Daoudi, relevant que «la politique de Maroc Télécoms de travailler avec des entreprises israéliennes va à contresens de la position officielle du Maroc et du peuple marocain».

De son côté, Maroc Télécoms a répondu à ces accusations, légitimant ces contrats avec des entreprises israéliennes du fait de la forte présence de la communauté marocaine d’origine juive en Israël, réfutant toute accusation de rapprochement ou de relations avec l’entité sioniste. Plus important opérateur de téléphonie au Maroc, le groupe Maroc Telecoms est détenu à 51% par Vivendi Universal.

Les relations intimes entre le Maroc et Israël ne sont en fait un secret pour personne, au point que Mohammed VI a gardé dans son cabinet le conseiller politique de son père, André Azoulay, natif d’Essaouira et représentant des juifs du Maroc."

IsraelValley et Extrait partiel de Le Quotidien d’Oran, 28/8/2010
QUANDLISLAMOPHOBIE
REJOINTLANTISEMITISME
OUQUANDLESVIEUX
DEMONSDELALLEMAGNE
SEREVEILLENT
Source : lexpress.fr via l'Agence Reuters
en ligne le 29 août



Nouvelle controverse autour
d'un membre de la Bundesbank



Angela Merkel s'est publiquement interrogée dimanche sur le maintien dans ses fonctions de Thilo Sarrazin, membre de la Bundesbank dont les déclarations défraient une nouvelle fois la chronique en Allemagne.

Pancarte à l'effigie de Thilo Sarrazin, membre de la Bundesbank dont les déclarations sur les musulmans et les Juifs ont défrayé une nouvelle fois la chronique en Allemagne. Angela Merkel s'est publiquement interrogée dimanche sur le maintien dans ses fonctions de ce membre du directoire de la banque centrale allemande. (Reuters/Johannes Eisele)

La chancelière a estimé que la banque centrale, indépendante, devrait se pencher sur la présence au sein de son directoire de Sarrazin dont, a-t-elle dit, "les propos absolument inacceptables témoignent d'un mépris pour certaines communautés de notre société".
"Je suis certaine qu'il y aura des discussions à la Bundesbank sur ce sujet. Il ne s'agit pas seulement de questions monétaires: la Bundesbank est aussi un trésor national, en Allemagne comme à l'étranger", a-t-elle dit à la chaîne de télévision ARD.
Plusieurs ministres ont également donné de la voix. "Il ne doit pas y avoir de place dans le débat politique pour des remarques qui attisent le racisme ou l'antisémitisme", a dit Guido Westerwelle, ministre des Affaires étrangères.
Jugeant qu'il devait y avoir "des limites à la provocation", Karl-Theodor zu Guttenberg (Défense) a estimé pour sa part que "Sarrazin a(vait) dépassé les bornes".
Ce dernier, membre du directoire de la Buba, a refait parler de lui ce week-end en estimant dans les colonnes du Welt am Sonntag qu'un peu partout en Europe, les musulmans s'intègrent moins que les autres populations immigrées et en évoquant le "gène particulier des Juifs".
Sarrazin est déjà visé par une enquête du parquet allemand pour incitation à la haine raciale pour avoir déclaré lors d'une réunion d'affaires en juin que l'intelligence moyenne de l'Allemagne diminuait en raison du faible niveau d'éducation des immigrés turcs, proche-orientaux ou africains.
L'interview de Sarrazin au journal dominical précède la parution, lundi, de son nouveau livre, dans lequel il dénonce la politique d'immigration du gouvernement et met en garde contre une "déculturation" de l'Allemagne.
"Je n'aimerais pas que le pays de mes oncles et grands-oncles devienne en grande partie musulman", écrit-il dans le livre.
Sarrazin parle dans l'interview au Welt am Sonntag d'un "patrimoine génétique" commun à la population européenne. "Les caractéristiques culturelles des peuples ne sont pas une simple légende, elles déterminent la réalité européenne", dit le banquier. "Tous les Juifs ont en commun un gène particulier, les Basques ont des gènes particuliers, qui les différencient des autres".
La communauté juive s'est également demandée comment Sarrazin pouvait continuer de siéger à la Bundesbank. "Quelqu'un qui tente de définir les Juifs par un caractère génétique est consumé par le racisme", a dit à Reuters Stephan Kramer. "Combien de temps une institution comme la Bundesbank pourra le tolérer ?"
Thilo Sarrazin n'en est pas à son premier propos controversé. La Bundesbank l'avait déjà sanctionné l'an dernier lorsqu'il avait affirmé que la plupart des habitants arabes et turcs de Berlin n'avaient "aucune fonction productive à l'exception de la vente de fruits et de légumes".
Jean-Stéphane Brosse, Eric Faye et Henri-Pierre André pour le service français
ROIABDALLAH
NETANYAHOU
RELATIONSAUBEAUFIXE
Source : newsletter de Guysen

International News
diffusée le 29 août



Le roi Abdallah de Jordanie
est satisfait de l'honnêteté
de ses discussions avec Netanyahou


Le roi Abdallah de Jordanie a déclaré a la 1ère chaîne de télévision israélienne que sa dernière rencontre avec le Premier ministre Netanyahou a eu lieu dans une atmosphère sincère dans laquelle ils ont échangé leurs vues pour l'avenir. Il a noté que le défi est maintenant de passer des paroles à l'action, et que si cela se produisait, les relations entre Israël et la Jordanie s'amélioreraient. Le souverain jordanien a fait ces remarques dans une in terview exclusive qui doit être diffusé samedi soir.
NEGOCIATIONSDIRECTES
ISRAELIENS/PALESTINIENS
AQUATREJOURSDELA

RENCONTREAWASHINGTON
NETANYAHOUPOSE

SESPRINCIPES
Source ; dépêche AFP diffusée
le 29 août



Proche-Orient:
Netanyahu insiste
sur les trois principes
d'un accord de paix



De Marius SCHATTNER



JERUSALEM


Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a mis en avant dimanche les trois principes de tout accord de paix avec les Palestiniens avant la reprise début septembre de négociations directes à Washington sous les auspices du président Barack Obama.

M. Netanyahu a insisté sur la reconnaissance d'Israël "comme Etat du peuple juif", par les Palestiniens, sur le fait que l'accord mette un point final au conflit et sur des arrangements de sécurité satisfaisants pour Israël.

Fait inhabituel, le chef du gouvernement, qui entend s'impliquer personnellement dans la négociation avec le président palestinien Mahmoud Abbas, ne sera secondé par aucun ministre mais uniquement par des conseillers lors des pourparlers qui reprennent le 2 septembre après 20 mois de suspension.

Il a désigné Yitzhak Molcho, un avocat, pour diriger l'équipe israélienne qui n'aura cependant pas de pouvoir de décision.

Lors de la réunion hebdomadaire du gouvernement, M. Netanyahu a clairement laissé entendre qu'Israël n'accepterait pas de compromis sur les trois points à l'issue des négociations, sans en faire un préalable à leur ouverture.

"Notre intention est d'avancer sérieusement et de façon responsable en vue d'un accord de paix (...) basé sur trois principes. Avant tout, il faut une reconnaissance d'Israël comme Etat du peuple juif et que l'accord stipule la fin du conflit", a dit le Premier ministre.

M. Netanyahu a estimé qu'une telle reconnaissance permettrait d'exclure des "demandes supplémentaires", en allusion à la revendication palestinienne d'un "droit au retour" en Israël des réfugiés de 1948. Pour Israël un retour en masse de réfugiés palestiniens mettrait en péril son caractère juif.

"Il faut des arrangements de sécurité concrets sur le terrain qui garantiront que ne se reproduira pas en Judée Samarie (Cisjordanie) ce qui s'est passé au Liban et à Gaza après les retraits israéliens" unilatéraux de 2000 et 2005, a-t-il ajouté en référence aux attaques anti-israéliennes à partir de ces territoires.

"Je suis conscient des difficultés et ne les minimise pas (...) Mais la question fondamentale est de savoir si la partie palestinienne est prête à avancer en vue d'une paix qui règlera le conflit pour des générations", a encore dit le premier ministre.

Les Palestiniens exigent, quant à eux, la reconnaissance par Israël du droit au retour des réfugiés dans ses frontières, tout en acceptant d'en discuter des modalités. Et ils ont averti qu'une reprise par Israël des activités de colonisation signerait l'arrêt immédiat des négociations.

En Jordanie, le roi Abdallah II qui participera à Washington à la cérémonie précédant la reprise des négociations, a reçu à Amman le ministre israélien de la Défense Ehud Barak et prévenu que les négociations devraient être "abordées avec sérieux" pour avoir une chance d'aboutir.

Mais au moment où des chances de paix étaient prudemment évoquées, des propos du chef spirituel du parti Shass, un des piliers de la coalition au pouvoir en Israël, provoquaient l'indignation des Palestiniens.

"Que tous ces méchants qui haïssent Israël, comme Abou Mazen (Mahmoud Abbas), disparaissent de notre monde!" a lancé le rabbin Ovadia Yossef dans son prêche hebdomadaire à Jérusalem. "Que Dieu les frappe de la peste ainsi que ces Palestiniens méchants et persécuteurs d'Israël".

Le porte-parole de l'Autorité palestinienne, Ghassan Khatib, s'est indigné, dans un communiqué de cette "incitation raciste" à la haine, exigeant un désaveu officiel du gouvernement israélien.

Le bureau du Premier ministre a dit dans un communqué que les propos du rabbin "ne reflètent pas la conception de Benjamin Netanyahu ni la position du gouvernement" qui aspirent à un règlement avec les Palestiniens
LESARTISTESISRAELIENS
LANCENTLEDEBAT,
ENISRAËL,
SURLESTERRITOIRES
OCCUPEES
Source : nouvelobs.com
via l'Associated Press en ligne le 29 août


Le monde du théâtre israélien
ravive le débat sur la colonisation



JERUSALEM (AP)



La pétition ambitionne de relancer le débat dans la société israélienne, à la veille de la reprise très attendue des pourparlers avec les Palestiniens: une soixantaine de comédiens et hommes de théâtre israéliens de premier plan se sont engagés à refuser de jouer dans l'implantation juive d'Ariel, en Cisjordanie, où un nouvel auditorium ouvre ses portes à l'automne, ou dans quelque autre implantation des territoires palestiniens occupés, a annoncé dimanche l'un de leurs représentants.

Ce refus vient raviver le débat sur une question qui divise les Israéliens: l'avenir de dizaines de colonies de peuplement en Cisjordanie, et ce à l'heure où Israéliens et Palestiniens reprennent le 2 septembre à Washington des pourparlers directs gelés depuis 18 mois.

La question des implantations, considérées illégales par la communauté internationale et situées sur des terres que les Palestiniens veulent voir faire partie de leur Etat, est susceptible de faire dérailler ces pourparlers très vite.

Le président palestinien Mahmoud Abbas affirme en effet qu'il claquera la porte si Israël ne prolonge pas le gel de la construction dans les implantation, un moratoire de dix mois qui arrive à expiration le 26 septembre. Et le Premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou ne s'est engagé à rien.

Selon le dramaturge Joshua Sobol, au moins 56 comédiens et auteurs de théâtre ont déjà signé la pétition, rédigée en réponse à l'annonce par la direction de plusieurs compagnies subventionnées qu'elles comptaient aller jouer à Ariel.

Parmi les signataires refusant d'aller jouer de l'autre côté de la Ligne verte, qui marque la 'frontière' avec la Cisjordanie occupée, on trouve des grandes figures du monde théâtral et comédiens populaires en Israël, comme Yossi Pollak, Anat Gov ou Savyon Liebrecht.

Le Premier ministre Benjamin Nétanyahou a estimé qu'ils servaient ainsi la campagne internationale qui vise à délégitimiser Israël, via des boycotts économiques, culturels ou universitaires. "La dernière chose dont nous ayons besoin en ce moment, alors que nous faisons l'objet de ce genre d'attaque, c'est d'une tentative de boycott venue de l'intérieur", a-t-il déploré dimanche au début du conseil des ministres hebdomadaire.

La question arrive sur le devant de la scène en raison de l'ouverture, prévue en novembre, d'un nouveau centre culturel qui a coûté dix millions de dollars à Ariel, une des plus importantes implantations cisjordaniennes, avec quelque 20.000 habitants. Selon le maire d'Ariel Ron Nachman, les principales compagnies théâtrales du pays sont prêtes à venir y jouer.

Sobol, auteur célèbre du "Ghetto", pièce sur l'Holocauste, a dit espérer que cette pétition puisse réveiller un public apathique et pousser les compagnies à revenir sur leur décision. "Il y a eu de la léthargie ces dernières années. Les gens sont en quelque sorte devenus indifférents aux nombreuses questions qui sont des questions existentielles en Israël, et ceci pourrait ranimer le débat public", a-t-il déclaré.

Les quatre compagnies, Habima, Cameri, Beit Lessin et Beersheba Theater, ont affirmé dans un communiqué conjoint qu'elles ne céderaient pas. "Nous respectons les opinions politiques de nos acteurs, mais nous ferons en sorte que ce que le théâtre israélien a de mieux aille à Ariel", écrivent-elles.

Selon Osnat Chen, porte-parole de Habima, la compagnie étudiera le cas de chaque acteur qui refuserait de jouer à Ariel.

Depuis qu'Israël s'est emparé de la Cisjordanie, de la Bande de Gaza et de la partie orientale de Jérusalem lors de la Guerre des Six jours en 1967, environ 300.000 colons se sont installés en Cisjordanie, et 200.000 autres à Jérusalem-Est, annexée par l'Etat hébreu après le conflit. Les détracteurs de la politique de colonisation estiment que ces enclaves et leur croissance constante pourraient empêcher la partition de la terre et détruire la notion d'un Etat juif démocratique.

Par ailleurs, le chef spirituel du parti ultra-orthodoxe Shas, membre de la coalition gouvernementale, a fait scandale dimanche, après avoir estimé que les Palestiniens et leur président devraient "disparaître du monde". Le rabbin Ovadia Yosef, 89 ans, très respecté dans la communauté sépharade, a aussi qualifié les Palestiniens d'"ennemis amers et malfaisants d'Israël".

Dans un communiqué, l'Autorité palestinienne a riposté, réclamant qu'il soit mis fin à la "culture de la haine envers les Palestiniens" en Israël. "Le chef spirituel du Shas appelle carrément au génocide contre les Palestiniens et il semble ne pas y avoir de réponse du gouvernement. Est-ce ainsi que le gouvernement israélien prépare son opinion publique à un accord de paix?", s'est interrogé le négociateur palestinien Saeb Erekat. AP

nc/v
ISRAËL
LERIDEAUTOMBE
SURLESSCENESDES
TERRITOIRESOCCUPES
Source : lemonde.fr via l'AFP en ligne
le 29 août



Polémique en Israël:
des acteurs refusent
de se produire dans une colonie


Plusieurs dizaines d'acteurs et artistes israéliens ont signé une pétition dans laquelle ils affirment refuser de se produire dans la colonie juive d'Ariel en Cisjordanie, a indiqué dimanche à la radio publique un de leurs représentants. "Ariel se trouve en territoire occupé, et aucun artiste israélien ne doit se produire en territoire occupé, ni à Ariel ni dans aucune autre implantation, car c'est contraire au droit international", a affirmé à la radio le dramaturge Yéhoshua Sobol. Ariel, 18.000 habitants, est l'une des plus grandes colonies juives créées en Cisjordanie occupée depuis 1967 et abrite un centre culturel qui a récemment été inauguré. "Les habitants d'Ariel disposent d'excellentes routes et n'ont qu'à s'en servir pour venir nous voir à Tel-Aviv", a ajouté M. Sobol.

Selon lui, pas moins de 53 acteurs, artistes et auteurs dramatiques israéliens ont signé une pétition en ce sens, notamment des grands noms du théâtre comme Yossi Pollak, Yousef Sweid, Anat Gov ou Savyon Liebrecht. Ces derniers représentent les principales compagnies théâtrales d'Israël, notamment Beit Lessin, Guesher, Habimah, Caméri, le Théâtre de Beersheva, ou encore le Khan de Jérusalem, toutes subventionnées par des fonds publics.

Cette prise de position a suscité les réserves d'une partie du monde des planches, ainsi que la colère des colons et de l'aile droite de la classe politique. Le maire d'Ariel, Ron Nahman, s'est ainsi dit "choqué par cette pétition qui mélange politique et la culture". Egalement interrogée à la radio, la ministre israélienne de la Culture et des Sports, Limor Livnat, du parti Likoud (droite), s'est élevée contre "cette initiative regrettable, qui divise l'opinion et répand la haine". Elle a assuré que les autorités israéliennes "ne se mêlent pas des répertoires ni du contenu des pièces de théâtre, et que le rôle des artistes est de servir de pont entre les divers secteurs de l'opinion".
GILATSHALIT
RASSEMBLEMENT

AJERUSALEM
SARKOZYENVOIT
UNCOURRIER
AUXPARENTS
Source : dépêche AFP diffusée le 28 août





JERUSALEM



Des milliers d'Israéliens ont manifesté samedi pour la libération du soldat Gilad Shalit détenu depuis 2006 à Gaza, lors d'un rassemblement à Jérusalem à l'occasion de ses 24 ans, au cours duquel a été lu un message de soutien du président français Nicolas Sarkozy.

La mère du soldat, Aviva Shalit, a appelé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à ramener son fils à la maison, laissant entendre qu'il devrait accepter les conditions d'un échange de prisonniers posées par le mouvement palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza, pour le libérer.

"Vous avez la possibilité de libérer Gilad", capturé par un commando palestinien à la lisière du territoire palestinien, a-t-elle déclaré sur un podium improvisé, placé devant la résidence du Premier ministre.

Elle s'est engagée à continuer son sit-in de protestation dans une tente sur ce lieu, entamé il y a deux mois, et à ne pas retourner chez elle tant que son fils, qui a également la nationalité française, n'aura pas été libéré.

Dans un message à cette occasion, lu par le Premier conseiller auprès de l'ambassade de France à Tel-Aviv, Alexis Dutertre, M. Sarkozy souligne sa "détermination à oeuvrer en vue de la libération de Gilad Shalit pour qu'il revienne enfin, au plus vite, auprès de vous".

"Gilad n'est pas un prisonnier de guerre, car les prisonniers de guerre ont des droits. Celui de recevoir la visite d'organisations humanitaires, celui d'échanger du courrier avec leurs proches. Gilad n'a pas ces droits car Gilad -disons les choses- est un otage", y affirme-t-il.

Il dénonce "cette manière révoltante de traiter un être humain qui suscite notre indignation collective, en Israël, en France et partout dans le monde".

Les manifestants ont brandi des pancartes avec l'inscription "Nos soldats n'ont pas de prix".

Israël et le Hamas se rejettent la responsabilité de l'échec des négociations indirectes sur l'échange du soldat contre un millier de détenus palestiniens.

M. Netanyahu a affirmé qu'Israël ne paierait "pas n'importe quel prix" pour sa libération, arguant que beaucoup de détenus palestiniens libérés par le passé avaient ensuite participé à des attentats anti-israéliens meurtriers.

samedi, août 28, 2010

GILADSHALIT
MANIFESTATION
AJERUSALEM
NICOLASSARKOZY

ENVOITUNCOURRIER
AUXPARENTSDUSOLDAT
FRANCOISRAELIEN
Source : l'express.fr en ligne le 28 août
à 21h 55
sur Diasporablog à 22h 12




Nicolas Sarkozy écrit aux parents
de Gilad Shalit


Le président français Nicolas Sarkozy a adressé samedi un message aux parents du soldat israélien Gilad Shalit, capturé par des militants islamistes de la bande de Gaza en juin 2006.

Nicolas Sarkozy a adressé samedi un message à Aviva (à gauche) et Noam (à droite) Shalit, parents du soldat franco-israélien Gilad Shalit, capturé par des militants islamistes de la bande de Gaza en juin 2006. "Des efforts obstinés ont été menés afin d'obtenir sa libération. S'ils n'ont pas encore abouti, soyez certains que jamais nous ne baisserons les bras. Notre action continue. Elle réussira", écrit le président français.


Ce message a été envoyé par le chef de l'Etat à l'occasion du 24e anniversaire du sergent Shalit, qui possède également la nationalité française.
"Le sort inacceptable de ce jeune homme, privé depuis plus de quatre ans de liberté et de contacts avec les siens, nous émeut et nous réunit", écrit le président français qui souligne que Gilad Shalit "n'est pas un prisonnier de guerre, car les prisonniers de guerre ont des droits", mais "un otage".
"Des efforts obstinés ont été menés afin d'obtenir sa libération. S'ils n'ont pas encore abouti, soyez certains que jamais nous ne baisserons les bras. Notre action continue. Elle réussira", ajoute Nicolas Sarkozy.
"Votre combat n'a rien à voir avec l'évidente nécessité de trouver une solution à la question palestinienne - et nous formons en ce moment de grands espoirs à cet égard - ou à la situation à Gaza. Votre combat, notre combat, est avant tout humanitaire."
"Parce que la détention, au secret, d'un être humain pendant plus de quatre ans est simplement contraire à tous les principes d'humanité. Tel est votre message, mon message (...) J'appelle ceux qui détiennent votre fils à l'entendre et à mettre fin au calvaire d'un homme et de sa famille", poursuit le président français.
Gilad Shalit a été enlevé en juin 2006 au cours d'un raid du Hamas à la limite du sud d'Israël et de la bande de Gaza. Il passe pour être détenu dans l'enclave côtière.
Guy Kerivel
ISRAËL
ALESBOULES
Source : israelvalley.com via sudouest.fr
en ligne le 28 août



La Fédération de pétanque d'Israël compte 500 joueurs réguliers, plus 300 autres joueurs. L'Etat Hébreu a accueilli le Championnat d'Europe féminin.


Incroyable mais vrai! Plus de 300 joueurs de pétanque sont en Israël. Ce n’est pas un canular. Lisez ce qui suit : Revue de Presse – "La pétanque n’est pas un sport uniquement francophone. Si, l’an passé comme cette année, le National accueille une délégation camerounaise, la délégation étrangère est également représentée par un jeune Israélien de 23 ans, Noam Seifer. « Il ne parle pas très bien le français, mais il comprend le patois », rigole Alain Ayré, le président du club de Périgueux, qui organise le tournoi.

Pourtant, le jeune bouliste se débrouille très bien avec la langue française. « Je l’ai appris parce que la France est le premier pays de pétanque », explique t-il. Un sport qu’il a découvert très tôt. « J’habitais à Tel-Aviv, et je prenais des cours de piano. Le club de boules était au milieu. Je m’y suis arrêté. J’avais 8 ans. »

Petit à petit, le virus le gagne. Quatre ans après ses débuts, il plonge pour de bon. « J’ai pris la pétanque au sérieux quand j’ai eu 12 ans. À partir de ce moment-là, quand je faisais des compétitions, je me mettais à l’entraînement quatre, cinq mois avant. » Très vite, il trouve sa place dans le paysage bouliste israélien. « Notre fédération ne compte que 500 joueurs réguliers, plus 300 qui participent de temps en temps. Israël n’est pas un pays francophone, donc la pétanque n’a pas le même poids qu’ailleurs. Chez moi, j’étais parmi les meilleurs. »

Pourtant, le pays hébreu fait des progrès. « Récemment, nous avons accueilli le championnat d’Europe féminin. Et une Israélienne a terminé deuxième au tir de précision. » Derrière une Française. Puis vient une rencontre décisive, avec Philippe Tronche, l’entraîneur de l’équipe du Cameroun. « Nous avons fait connaissance il y a six ans, lorsque je travaillais à l’ambassade de France en Israël », révèle ce dernier. C’est lui qui l’a invité à Périgueux.

Il y a un an, Noam décide de s’exiler. « Je parlais français, alors je me suis dit que ce serait une bonne idée de venir découvrir la culture. » Et également de se frotter au gratin des boules. « Je veux m’améliorer », reconnaît-il. Il atterrit à Montpellier, où il s’inscrit en fac de sciences économiques. Puis il prend sa licence au club de Palavas-Les-Flots. Mais les études passent avant tout. « Je dois réussir ma licence, puis mon master, pour pouvoir rester en France. » Alors, en période d’examens, les entraînements se font plus légers. « Sinon, j’y vais quatre à cinq fois par semaine. »

Et les progrès à faire sont clairs : « C’est au niveau mental. En Israël, tout le monde se connaît. Alors on sait comment ça va se passer dans les tournois. Mais ici, on ne connaît personne. Donc je dois apprendre à vite analyser le jeu de l’adversaire. Ça viendra. » Il va pouvoir tester ses progrès dès aujourd’hui. « Le terrain à l’air technique, j’aime bien. On voit vraiment qui est capable de maîtriser. »




Source:
http://www.sudouest.fr/2010/08/27/noam-en-terre-promise-170316-8.php
DAHAN
MEZRAHI
AUXCOMMANDES
DELHUMOUR
DEFRANCEINTER

Source : la newsletter de rue89.com
diffusée le 28 août



http://www.rue89.com/2010/08/27/france-inter-pas-de-feuille-de-route-pour-dahan-et-mezrahi-164186
RACISME
ANTISEMITISME
LAFRANCE
MULTICULTURELLE
ENDEBAT
Source : la newsletter de rue89.com
diffusée le 28 août



http://www.rue89.com/2010/08/28/la-societe-postraciale-selon-kemi-seba-et-francois-durpaire-164201

vendredi, août 27, 2010

QUANDLISLAM
VAALARENCONTRE
DELAMEMOIREJUIVE
Source : la newsletter du CRIF diffusée
le 27 août



Des imams américains à Auschwitz


Du 4 au 11 août 2010 huit imams américains parmi les plus importants ont été conduits à Auschwitz en présence de deux ambassadeurs US choisis par le Président américain Barack Obama: Hannah Rosnthal et Rashid Hussein. Le voyage commence par une visite du camp de Dachau, tout près de Munich. Et le jour suivant fut exclusivement consacré à la visite du camp d'Auschwitz.

Les imams furent littéralement bouleversés par ce qu'ils virent et ébranlés par les témoignages de deux rescapés judéo-polonais nonagénaires, l'un exhibant son tatouage sur l'avant bras et l'autre relatant qu'il dut prendre en photo les pauvres jeunes filles juives, servant de cobaye à Mendele, le sinistre médecin du camp. Au terme de la visite, tous les membres de la délégation ont récité des prières. L'ensemble des musulmans a reconnu n'avoir eu de la Shoah qu'une notion des plus abstraites.
DESCOLONSJUIFS
METTENTLEFEUAUX

POURDRESDANSUN
QUARTIERDEJERUSALEM
Source : la revue de presse de
l'Ambassade de France en Israël
diffusée le 27 août



Un quartier en flammes


Roni Shaked,
Akiva Novick
et Yaron Doron
Yediot Aharonot


Le quartier de Silwan, à Jérusalem-est, ressemblait hier à une zone de combats : des voitures incendiées, des tirs et des grenades lacrymogènes. Ce n’est qu’après trois heures d’émeutes et l’intervention de la police que le calme est revenu.

Les affrontements violents entre les habitants arabes et les colons du quartier ont éclaté suite à un conflit concernant la voie qui mène à la mosquée Ein Silwan. Hier à l’aube, plusieurs habitants juifs ont tenté de démonter le portail installé à l’entrée du sentier, ce qui a déclenché les émeutes au cours desquelles des habitants arabes ont incendié les voitures de colons juifs, jeté des cocktail Molotov et brûlé des pneus.
ENECHANGE
DEDEUXHUMORISTES
"INDISCIPLINES"
PHILIPPEVALCHOISIT
POURFRANCEINTER
LHUMOURJUIF
Source : feminin.co.il via purepeople.com
en ligne le 27 août



France Inter :
Raphaël Mezrahi et Gérald Dahan
remplacent Guillon et Porte !


Michelle

Après la polémique des départs de Stéphane Guillon et Didier Porte, la question était de savoir ce que Philippe Val allait décider pour l’avenir de sa station France Inter.

La réponse vient de tomber, à la conférence de presse qui se déroule actuellement : deux nouveaux humoristes débarqueront sur la station de radio pour succéder aux deux trublions. L’imitateur Gérald Dahan, Raphaël Mezrahi (qui quitte donc Europe 1) et François Morel seront désormais en charge de l’humour dans la matinale, présentée maintenant par Patrick Cohen (en remplacement de Nicolas Demorand).

L’officialisation de ces trois noms n’est pas vraiment une surprise puisque François Morel oeuvre déjà sur la station le vendredi matin, et les deux autres étaient largement pressentis depuis quelques jours. Le trio Guillon-Porte-Morel laisse donc sa place au trio Mezrahi-Dahan-Morel : François Morel est celui qui s’en sort le mieux…

Ce nouveau trio officiera à 8h55, soit une heure plus tard que Guillon et Porte. Ils seront ainsi en concurrence avec les deux humoristes-imitateurs qui se font déjà une gentille guéguerre : Laurent Gerra (RTL) et Nicolas Canteloup (Europe 1).

source : Purepeople.com
NEGOCIATIONSDIRECTES
ISRAELIENS /PALESTINIENS
NETANYAHOUSOUHAITE
INSTALLERUNEATMOSPHERE
DETENDUEAVECABBAS
Source : lexpress.fr en ligne le 27 août
à 12h 15
sur Diasporablog à 12h 32




Netanyahu propose
de rencontrer Abbas
tous les quinze jours



Selon une source diplomatique, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a proposé de rencontrer le président palestinien, Mahmoud Abbas, tous les quinze jours pour améliorer les perspectives de dialogue direct entre Israéliens et Palestiniens. (Reuters/Uriel Sinai/Pool)

Le chef du gouvernement israélien, qui est attendu à Washington la semaine prochaine pour des négociations directes, compte "prendre personnellement en main les négociations", dit-on de même source.
Réagissant à cette idée, le négociateur en chef palestinien Saëb Erekat a jugé "prématuré de parler de ça pour le moment".
La proposition a été transmise à Washington, où Benjamin Netanyahu et Mahmoud Abbas doivent dîner ensemble avec le président Barack Obama le 1er septembre.
Le lendemain, Abbas et Netanyahu lanceront des négociations directes, qui feront suite à des mois de contacts indirects, sur fond de pessimisme persistant quant à leur aptitude à trouver un accord de paix.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, elle, se veut optimiste. Les Etats-Unis, dit-elle, ont des raisons de croire que toutes les grandes questions en suspens pourront être réglées d'ici un an.
En revanche, pour le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, il n'y a pratiquement aucune chance de conclure un accord dans un délai aussi bref. Selon lui, "Il n'y a pas de recette magique qui peut nous mener en un an à un accord permanent(...)".
Les négociations pourraient bien achopper rapidement, le 26 septembre, jour où expire un moratoire de dix mois décidé par les Israéliens sur les nouvelles constructions de logements dans les colonies juives de Cisjordanie occupée.
A L'INSTAR D'OLMERT ET D'ABBAS

Or Mahmoud Abbas, dont l'autorité ne s'étend que sur la Cisjordanie depuis que le Hamas a pris le contrôle de la bande de Gaza à la mi-2007, menace de se retirer des négociations si Israël reprend les constructions de logements dans les colonies.
Les Etats-Unis s'opposent à toute expansion des colonies juives mais n'ont pas demandé à Benjamin Netanyahu de proroger le moratoire. Une telle prolongation risquerait de provoquer des dissensions au sein de la coalition au pouvoir, dominée par des partis favorables aux colons, dont le sien, le Likoud.
Au lieu de cela, Washington a demandé à Israël comme aux Palestiniens de ne prendre aucune mesure qui risquerait de mettre en péril les négociations et a indiqué que la question des colonies serait soulevée lors des négociations des semaines à venir.
En vertu de la nouvelle proposition faite par Benjamin Netanyahu, Mahmoud Abbas et lui-même se retrouveraient tous les quinze jours pour tenter d'aplanir les différends et trouver des points d'accord sur les grands dossiers, après quoi les équipes de négociateurs discuteraient des points de détail, dit-on de source diplomatique.
De même source, on indique que le Premier ministre israélien s'est entouré d'une petite équipe de conseillers, avec l'avocat Yitzhak Molcho comme négociateur en chef.
Citant Netanyahu, un responsable israélien a déclaré que "les seules négociations au Proche-Orient sont des négociations directes, calmes et sur la durée, entre dirigeants, sur les sujets de fond".
Une formule du même genre avait été adoptée lors des négociations de paix entre le prédécesseur de Netanyahu, Ehud Olmert, et Abbas, lesquels avaient eu une série d'entretiens en privé, à un intervalle de quelques semaines les uns des autres.
COUP
DEPOUCE
A...


MAUREEN ROSILIO
REALISATRICE
DE...


"JUIFS, ON VOUS AIME!"
SORTI EN DVD

EXTRAIT

COUP
DEPOUCE
A...


MAUREEN ROSILIO
REALISATRICE
DE...

"JUIFS, ON VOUS AIME!"
SORTI EN DVD



Maureen Rosilio est née à Essaouira au Maroc et monte en Israêl où elle fit sa scolarite et obtint un diplôme de Chimie à l'Université de Jerusalem.

En France, elle occupe un poste de cadre dans la grande distribution et en parallèlle réalise de trés nombreuses expositions de peinture, de sculptures , trois films documentaires dont le film "'Kippour qui contre?", un spectacle "La troupe des mille et une nuit" et écrit deux livres : "Mon père, Itinéraire photographique et historique" , "Palestine Années trente" et un livre de cuisine "Les couleurs du goût".

Dans son film "Juifs, on vous aime!" elle interroge sur leur passé des personnalités juives sur leur pays d'origine essentiellement l'Afrique du Nord.

Elle y introduit de la musique Lithurgique, Andalouse ou Klezmer et n'oublie pas l'humour juif..Ce film est un témoignage de mémoire conçu pour mieux comprendre les juifs venus de ces pays de la Méditerranée, leur culture et leur attachement immuable à Israël .

Son message : Il n'y a pas que les Palestiniens qui souffrent. Prés de 500 000 juifs d'Afrique du Nord ont quitté, les mains nus, leur pays et ont su merveilleusement s'intégrer en France ou ailleurs.

Leur biens ont été spoliés pendant l'occupation. Il est temps, aujourd'hui d'entendre la voix de cette communauté juive dépossédée, qui sont passés par les camps d'Arenas .

Zadoc chante un hymne à la paix, d'autres poètes.

Si vous désirez acquérir ce double dvd d'1h 30,

Par mail :

marie26c@gmail.com

ou appeler le

06 59 82 14 19


deux extraits sont sur youtube et dailymotion :

Demander
"Juifs, on vous aime 3"
sur dailymotion et


"Juifs, on vous aime"
sur youtube

Maureen Rosilio répondra favorablement à toute invitation à débattre.
DIASPORABLOG
CONTRE
LEREGIMESANGUINAIRE
ETAGRESSIF
DETEHERAN


DIASPORABLOG APPORTE
SON PLEIN SOUTIEN
AU

CONSEIL NATIONALDE
LA RESISTANCE IRANIENNE



Première condamnation à mort
d’une prisonnière politique arrêtée
pendant le soulèvement



La nouvelle de la condamnation à mort de Mme Farah (Elvira) Vazehan traduit un nouvel élan dans la sauvagerie et la misogynie du fascisme religieux au pouvoir en Iran. Elle avait été arrêtée pour ses liens familiaux avec les Moudjahidine d’Achraf, et outre la peine de mort, elle a été condamnée à deux ans de prison et à verser une amende !

Mme Vazehan est la première femme détenue politique a avoir été condamnée à mort dans le courant du soulèvement de l’année qui vient de s’écouler. Elle a été arrêtée avec ses deux enfants le 29 décembre 2009, deux jours après la manifestation de l’Achoura, dans une descente violente des services de renseignements à son domicile. Elle est restée plus d’un mois en isolement cellulaire sous des tortures physiques et psychologiques pour lui arracher des aveux forcés télévisés. Ses enfants ont aussi été maintenus en cellule d’isolement pour les contraindre à témoigner contre leur mère.

L’oncle de Mme Vazehan, M. Parviz Feizy, était prisonnier politique sympathisant des Moudjahidine du peuple. Il a été exécuté en 1985 à l’âge de 30 ans. A l’époque c’est Ladjevardi, le « Boucher d’Evine » qui avait annoncé devant la prison l’exécution de son frère à la mère de Mme Vazehan. Elle avait fait une crise cardiaque qui l’avait emportée à l’âge de 38 ans. La sœur de Mme Vahzehan avait aussi été emprisonnée durant quatre ans dans les années 1980 accusée d’être sympathisante de l’OMPI et soumise à de terribles tortures.

La commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne appelle le Secrétaire général de l’ONU, le Conseil de sécurité et le Haut commissaire aux droits de l’homme, ainsi que les organisations de défense des droits humains et des droits des femmes à condamner les peines de mort des prisonniers politiques, notamment de Mme Vazehan, et à intervenir d’urgence pour la faire libérer.



Commission des Femmes
du Conseil national
de la Résistance iranienne

Le 25 août 2010

jeudi, août 26, 2010

MACCABITELAVIV
PARISSAINTGERMAIN
LERETOURCESOIR
ATELAVIV
AUSTADEBLUMENFIELD
Source : football.fr en ligne le 26 août
à 11h 59

sur Diasporablog à 12h 28



Maccabi Tel-Aviv - Paris SG :

L'Avant-Match

Ce soir à 20 heures, au Bloomfield Stadium de Tel-Aviv et en direct à la télévision sur la chaîne de la TNT, Direct 8, le Maccabi Tel-Aviv (Israël) reçoit le Paris Saint-Germain FC (PSG) pour le compte des Barrages Retour de l'Europa Ligue saison 2010/201. Le PSG se déplace avec un avantage de deux buts après s'être imposé 2-0 à l'aller au Parc des Princes. Voici la présentation de ce match :

L'histoire :

Il n'y a pas grand chose à dire des déplacements au Bloomfield Stadium de Tel-Aviv puisque ce sera une première pour le PSG. Les Parisiens ne se sont jusqu'à présent jamais déplacés en Israël pour y rencontrer le Maccabi Tel-Aviv. Ce sera donc la première fois pour les 40 ans du club ! Ce sera par la même occasion la première fois depuis bien des temps que le PSG se rendra en Israël puisque les dernières fois qu'il a affronté des clubs israéliens, c'était à domicile (Hapoël Tel-Aviv, Panathinaïkos...).


Le dernier match :

Comme il n'y a pas eu de dernière rencontre entre le Maccabi et le PSG, on va citer dans cet article le match de jeudi dernier au Parc des Princes : Tout va très vite et très bien commencer pour les Parisiens qui, après une récupération de Ceara sur la droite, va centrer, Afgar repousse le ballon dans les pieds de Luyindula qui propulse le ballon dans les filets. 1-0 ! 3ème minute de jeu. Et Paris prend le jeu à son compte sans trop se montrer dangereux vers le but de Strauber, qui va tout de même sauver son équipe du 2-0 à la 43 ème minute de jeu après une tête smashée de Guillaume Hoarau qui prenait bien le chemin du but. A la mi-temps 1-0,. Et Paris entame la seconde période toujours avec le ballon dans les pieds mais en se montrant moins percutant qu'en première période. Le Maccabi se montre plus pressant ce qui n'empêche pas à Hoarau de marquer à l'heure de jeu d'un tir à l'entrée de la surface après une passe en retrait de Ludovic Giuly. 2-0 ! Paris est confiant mais les entrées de Bezoglu et Altidor vont changer pas mal de choses. Le Maccabi Tel-Aviv est plus souvent vers les buts parisiens et Apoula Edel va sauver son équipe à de maintes reprises en fin de match. Une équipe qui se fatigue de plus en plus et qui n'attend qu'une chose, le coup de sifflet final ! Il va enfin retentir après 2 minutes de temps additionnel. Paris fait un grand pas vers la qualification et n'a plus qu'à confirmer ce jeudi 26 août à 20 heures au Bloomfield Stadium.


Le duel à suivre :

Après avoir vu le match aller, on a pu constater le talent du milieu gauche du Maccabi Tel-Aviv : Medunjanin. Avec ses centres millimétrés et sa technique qui peut amener beaucoup d'actions chaudes dans la surface, Medunjanin sera le joueur à surveiller de près. On peut le comparer à Nenê chez Paris, avec lequel ils se livreront un duel à distance vu qu'ils évoluent tous les deux en tant que milieux gauche. Nenê, lui aussi, grâce à sa technique sans nom, sa vision du jeu, ses coups franc et ses centres peut amener beaucoup de danger sur les buts de Strauber. En effet, Antoine Kombouaré devrait le titulariser ce soir dans une équipe, à l'image du match aller, très remaniée. Medunjanin-Nenê seront donc pour moi et sans doute deux joueurs à observer car leurs caractéristiques peuvnt amener beaucoup de danger sur les buts adverses.
LESJUIFS
ENTRELEXILETLALYAH
UNEREPONSE
AUPROFESSEUR

RAPHAËLDRAI
Source : ashkel-over-blog.com en ligne
le 26 août



LETTRE OUVERTE AU
PROFESSEUR RAPHAEL DRAI



LA RELATION DIASPORA ISRAEL
N’EST-ELLE QU’UNE QUESTION

A « PURGER » ?



Par
le Docteur
Roland Yehouda DAJOUX (Djaoui)




A l’initiative de la dynamique Claude Grundman Brightman, le Collège académique de Netanya a organisé le 17 aout 2010 une très belle rencontre réunissant deux éminents professeurs venus de France pour parler de leur pétition intitulée « Raison garder ».


Monsieur le Professeur Raphael Drai, permettez-moi, tout d’abord, de vous témoigner mon admiration pour votre parcours universitaire qui honore le judaïsme d’Afrique du nord et de France.

Vous avez jugé bon de débuter votre propos en décidant de « purger » la question : « Un juif vivant en dehors d’Israël a-t-il le droit de s’immiscer dans les décisions de l’Etat d’Israël ? ». Cette précaution oratoire était habile car, pensiez-vous ainsi, que cette question n’aurait plus de raison d’être posée par vos auditeurs vivant en Israël et qu’elle induirait une réponse positive, comme allant de soi.

Eh bien non Monsieur le Professeur, les choses sont plus complexes.

En effet, cette question loin d’être accessoire, mérite plus qu’une esquive. Elle est, me semble-t-il, au cœur même de la relation actuelle entre la diaspora et Israël et vous savez bien, Monsieur le professeur, qu’éluder une question n’est pas la résoudre !

Je voudrais donc, avec respect, soumettre à votre réflexion deux citations de Maitres qui me confortent dans mon action et dont je ne suis qu’un humble élève.

Voici tout d’abord la position du Rav Kook sur ce sujet dans son livre OROT (premier chapitre, premier paragraphe) :

ארץ-ישראל איננה דבר חיצוני קנין חיצוני לאומה רק בתור אמצעי למטרה של ההתאגדות הכללי והחזקתקיומה החמרי או אפילו הרוחמי

“ La Terre d’Israël n’est pas une réalité extérieure, un bien extrinsèque à la nation ; elle n’est pas uniquement un instrument visant à établir notre unité globale et affermir notre existence matérielle ou même spirituelle. Non, la Terre d’Israël est une entité consubstantiellement rattachée à la nation par un lien de vie, toute entière affectée de caractères internes spécifiques à sa réalité. Aussi, est-il impossible de rendre compte du contenu de la sainteté du sol d’Israël et d’exprimer la profondeur de son amour, en se basant sur les seules données de la raison humaine. Le souffle divin qui repose sur l’ensemble du peuple, qui imprègne de façon naturelle l’âme d’Israël, qui plonge ses rayons authentiques dans tous les canaux de la création sensible, répand une lumière suprême proportionnelle à la Sainteté divine qu’il émet et remplit de vie et de grâce sublime, le cœur des esprits purs et des détenteurs absolus de la pensée juive ; c’est ce souffle-la qui seul explique la valeur particulière de la Terre d’Israël. Evoquer le Pays d’Israël, en lui conférant une valeur accessoire nécessaire à l’unification de la nation, même quand cette pensée a pour but de renforcer le judaïsme diasporique afin de lui conserver son caractère propre, d’affermir la foi et la piété et assurer convenablement la pratique des ordonnances divines, voila bien une intention totalement stérile et viciée à la base, puisqu’elle ignore la sainteté éminente de la Terre d’Israël. Le Judaïsme de l’exil tire sa force uniquement de l’élan profond qui l’attire vers la Terre sainte et il ne recevra son originalité authentique que dans la mesure où il est constamment dépendant des espoirs de cette Terre. L’aspiration au salut est le pouvoir qui maintient encore en vie le Judaïsme de l’exil, tandis que la vie juive sur la Terre d’Israël constitue ce salut même ».


De son coté le Rav Aviner nous propose une formule beaucoup plus laconique :« Le plus grave dans l’exil, c’est d’oublier que l’exil est l’exil ».


Monsieur le Professeur Drai si nous partageons tous la « segoula » d’appartenir au Peuple d’Israël et l’amour de la Thora, il est indéniable qu’au delà des 4000kms qui nous séparent encore c’est toute la problématique de la messianité et la sainteté de la Terre d’Israël qui nous interrogent.

Monsieur le Professeur Drai, ne soyez pas en retard d’une ou de plusieurs prophéties, rejoignez nous en Israël comme vous l’a si subtilement suggéré Claude Grundman Brightman en conclusion de ce colloque, apportez nous votre savoir, votre culture et votre manière d’être homme.

Israël est le seul endroit ou tous les Juifs peuvent guérir de la maladie de l’exil. Vous comprendrez alors combien, ici nous sommes loin des querelles de clochers entre intellectuels français universitaires reconnus ou non et des batailles de chiffres, statistiques dérisoires par rapport au destin du Peuple d’Israël qui redevient le Peuple hébreu sur sa terre retrouvée.


Chalom de Jérusalem

Docteur Roland Yehouda DAJOUX (Djaoui)

daju@netvision.net.il



Sefer OROT du Rav Abraham Isaac Hacohen Kook ; traduit par Abraham Elichama ; sous la direction du Rav Yehouda Ben-Ichay et sous l’égide de la Fondation Abraham Djaoui zal.
NETANYAHOU
CONCEDESUR
LEGELDESCONSTRUCTIONS
ENTERRITOIREOCCUPE
Source : romandie.com via l'AFP
en ligne le 26 août à 10h
sur Diasporablog à 10h 30



Netanyahu envisage un "mini-gel"
de la colonisation



JERUSALEM


Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu envisage un "mini-gel" de la colonisation après le 26 septembre, limité aux implantations isolées, ont indiqué jeudi des médias israéliens.

L'objectif est d'éviter un blocage des prochaines négociations de paix directes israélo-palestiniennes qui irriterait Washington tout en lâchant du lest au lobby des colons.

"Netanyahu envisage un +mini-gel+" de la colonisation après la fin du moratoire de dix mois sur la construction dans les colonies en Cisjordanie occupée, titre le quotidien à grand tirage Yediot Aharonot.

L'idée est de prolonger le moratoire concernant la construction dans les colonies isolées, "sans l'annoncer publiquement", selon le journal. En revanche, le gouvernement donnerait son feu vert aux constructions dans les blocs de colonies, qu'Israël compte annexer à terme.

Selon le quotidien, le Premier ministre a eu ces derniers jours des contacts à ce sujet avec six autres ministres, dans le cadre du "comité des sept" principaux ministres du gouvernement.

Cette même idée de gel partiel, évoquée mercredi par deux ministres du parti de M. Netanyahu, le Likoud, est reprise par d'autres médias israéliens, dont les radios publique et militaire.

Le porte-parole du Premier ministre, Mark Regev, interrogé par l'AFP, s'est refusé à tout commentaire, indiquant que le chef du gouvernement "ne souhaitait pas réagir" à ces informations.

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé le 20 août la reprise le 2 septembre à Washington des négociations directes israélo-palestiniennes afin d'aboutir à un accord d'ici un an, après une suspension de 20 mois.

L'Autorité palestinienne, qui s'est résignée sous intense pression américaine à participer aux négociations sans avoir obtenu les garanties qu'elle espérait sur le gel de la colonisation, a prévenu que sa reprise en signerait l'arrêt immédiat.

Elle s'oppose aux constructions aussi bien dans les blocs où vivent la grande majorité des 300.000 colons juifs installés en Cisjordanie, que dans les quartiers de colonisation de Jérusalem-est où vivent plus de 200.000 habitants israéliens.

Des ministres ont manifesté à nouveau jeudi leurs divergences sur une prolongation du moratoire, les représentants du parti travailliste se prononçant pour, alors que des ministres de l'aile la plus à droite du gouvernement s'y opposaient.

"Vu la très grande importance que revêt la relance des négociations directes, il faut faire un effort significatif pour qu'elles réussissent", a déclaré à la radio le ministre travailliste des Affaires sociales Yitzhak Herzog.

Dans ce but, il a estimé nécessaire de "limiter la construction aux blocs d'implantations" mais s'est déclaré favorable à la stopper là aussi si cela s'avérait indispensable au succès des pourparlers.

En revanche, le ministre de l'Information Youli Edelstein, du Likoud, a estimé qu'Israël "devait construire partout en Judée Samarie (Cisjordanie)".

Les représentants des colons ont pour leur part lancé une campagne pour la relance totale de la colonisation.
UNMARIAGE
PEOPLE
PASCOMME
LESAUTRES

Source : la newsletter de voici diffusée
le 26 août



Eric Besson marié
par Rachida Dati le 16 septembre


Son mariage ?
Ce sera avec Rachida !



Le ministre de l’immigration, Eric Besson, va passer très prochainement devant la mairesse du VIIe arrondissement, Rachida Dati.

Voilà un mariage politico-people auquel Rachida Dati, notre socialite (pas socialiste, hein, socialite) nationale, est sûre d’être invitée. Et pour cause, elle va le célébrer. Ce mariage, c’est celui d’Eric Besson, 52 ans, et de sa jeune épouse, Yasmine, 26 ans de moins au compteur. Un an après le début de leur idylle, révélée par Voici.

Actuellement au cœur de la tempête qui secoue le gouvernement pour les mesures très décriées prises envers la communauté rom, Eric Besson a décidé d’opter pour une cérémonie tout ce qu’il y a de plus sobre. Selon nos informations, le mariage se tiendra le 16 septembre prochain en comité restreint, seuls quelques proches étant invités. Et parce que la crise touche tout le monde, pas de grosse teuf après le passage devant la mairesse du VIIe arrondissement, même si on avance la présence de Nicolas Sarkozy.

Espérons que l’incorrigible Rachida Dati, en pro du glamour, choisira une tenue qui n’éclipsera pas la jeune mariée sur les photos. C'est qu'on commence à la connaître...

C.C.

mercredi, août 25, 2010

ISRAËL/PALESTINIEN
NICOLASSARKOZY
SOUTIENTLAPOLITIQUE
DOBAMA
Source : la site de France-Info en ligne
le 25 août



Afghanistan, Iran, Palestine :
Sarkozy dévoile sa politique étrangère
aux ambassadeurs


Devant la Conférence annuelle des ambassadeurs réunie à Paris, Nicolas Sarkozy a déclaré que le contingent français resterait en Afghanistan "aussi longtemps que nécessaire".
Dans le dossier du nucléaire Iranien, le président français a souhaité la conclusion d’un accord "crédible" avec l’Iran mais, dans le cas contraire, Nicolas Sarkozy estime qu’il faudra s’organiser pour "défendre les Etats qui se sentiraient menacés par Téhéran.
Il veut aussi un accord de paix dans un délai d’un an entre Israël et l’Autorité palestinienne.
Nicolas Sarkozy a dévoilé sa politique étrangère devant les ambassadeurs réunis à Paris
NEGOCIATIONS
DIRECTES
ISRAELIENS/PALESTINIENS
DESUNION
DANSLEGOUVERNEMENT
ISRAELIEN
Source : dépêche AFP diffusée le 25 août




Déclarations de Lieberman
et pression des colons amoindrissent
les espoirs de paix


JERUSALEM



Le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a ironisé mercredi sur les maigres chances d'un accord lors des négociations directes de paix avec les Palestiniens, menacées par les pressions de la droite pour une reprise de la colonisation.

"Nous avons connu beaucoup d'événements festifs de ce genre", a moqué le ministre, chef du parti ultranationaliste Israël Beiteinou, citant les conférences de paix de Madrid en 1991 et Annapolis en 2007.

"Qu'est-ce que nous avons fait au cours des 17 dernières années depuis Oslo (accords d'autonomie, ndlr)? Soudainement, nous allons parvenir à un accord de paix en un an?", s'est étonné M. Lieberman, coutumier des pronostics pessimistes sur les chances d'un accord de paix.

Il s'est récemment heurté à plusieurs reprises au Premier ministre Benjamin Netanyahu, l'accusant notamment de le tenir à l'écart d'importantes décisions diplomatiques.

M. Netanyahu a estimé dimanche qu'"un accord de paix avec les Palestiniens était difficile mais possible".

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé le 20 août la reprise le 2 septembre à Washington des négociations directes israélo-palestiniennes afin d'aboutir à un accord d'ici un an.

M. Lieberman a par ailleurs indiqué "ne voir aucune raison" de prolonger le moratoire partiel de 10 mois de la colonisation en Cisjordanie au-delà de l'échéance du 26 septembre.

Il s'est dit favorable à l'idée, avancée notamment par des ministres du courant le plus modéré du Likoud, le parti de M. Netanyahu, tels que Michaël Eytan (chargé des services publics) ou Dan Meridor (chargé des services secrets), d'une reprise de la construction concentrée essentiellement dans les blocs d'implantations qu'Israël compte conserver aux termes d'un accord final.

Les colons ont pour leur part exigé une relance totale de la colonisation.

"Impossible de se payer de mots, c'est littéralement l'heure du jugement pour notre Premier ministre et son gouvernement", a affirmé à l'AFP Naftali Bennet, chef de Yesha, la principale organisation de colons.

Il a annoncé le lancement dans les prochains jours "d'une campagne très agressive, au niveau politique et dans la rue, pour contraindre le gouvernement à être fidèle au mandat qu'il a reçu de la majorité de l'opinion".

L'Autorité palestinienne, qui s'est résolue sous intense pression américaine à participer aux négociations sans avoir obtenu les garanties qu'elle espérait, a prévenu que la reprise de la colonisation en signerait l'arrêt immédiat.

"Les Palestiniens viennent parce qu'ils y ont été obligés. Ils viennent avec des conditions préalables qui risque de faire exploser ou empêcher des négociations sérieuses", a estimé M. Lieberman.

Signe de la tension régnant en Cisjordanie après la décision difficile du Comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine (CEOLP) d'accepter l'invitation aux pourparlers, les forces de sécurité palestiniennes ont interdit une conférence à Ramallah contre la reprise des discussions, selon des témoins.

Plusieurs dizaines de membres des forces de sécurité palestiniennes sont entrés dans la salle où se tenait la conférence, organisée par des factions de l'OLP et des indépendants, parallèlement à un rassemblement similaire à Gaza.

Ils ont scandé des slogans favorables au président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas dont ils brandissaient le portrait, selon ces témoins.

"Des dizaines de personnes sont entrées dans la salle, ont enlevé les banderoles, insulté les participants et arrêté certains d'entre eux", a précisé le secrétaire général adjoint du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), Abdel Rahim Mallouh.